que serais je sans toi?
je serais sans toit,
sans toi.
tes maux sont mes mots ,
ton corps beau vacille ,
lorsque fredonne le corbeau vanille,
ta paire de saint à l horizon,
faconne tes seins en chanson,maison
le pain égossillait en vain ses lendemains,
souvenir de troux dans toutes les mains.
ma morte-joyeuse, j ais bus tes rivières pourpres,
dans d étranges contours, dis moi qui tu hais?
je te dirais peux etre qui je suis ,
vois comme je suis en rideaux de tes cauchemards fenetres
sur les plages de ta mer, ma mere violait le ciel
juilliet révait sans doute a septembre peux etre ,
envois moi stp dans les angoisses de ta grand- mere,
il pleuvait sur ton visage
tu m as répondu chacun ses orages,
tu crois que je pleure de rage,
se ne sont que ds gouttes de pluie,en adage,
la haut elle dois m attendre
elle pleurre cent fois mon sang
ne t en fais pas pour moi
meme si quelques fois je tremble
s est que je tremble de froid
vois tu hier j ai vus mulder voté
pour du beurre dans ls nouilles de scully
tout peux arriver
meme aimer les puits .
j expire ,shakespeare's
tel un fantome sur une nouvelle route fesant du stop
petit prince, j ai retrouvé un etrange avion
dans la mer de ta mere
tout cela est fort dangeureux
la lune etait absente
j avais bus des bieres en rapidos,
sur la tombe d une mere, en tente,
ceux peut il qu il reste des os,
les cerceuils dans un salon bandaient,
oui- ja en playstation vomissait tes prisons dortoires
monopoly de ta vie, aux cimetieres de tes mise en bieres
je me suis baissé par respect pour te voir
me suis relever, j etais grand
immense,
geant,
si tu n est pas
je suis rien
si tu est rien
j' essuis tout,
j ai vus en naissant de ton etoile mourrante,
la cinquiéme saisons
c est en te voyiant que j ai apris a volé
si bien volé
volé si loin
si haut
que je t est volé tout ton temps
laisse moi mettre une buche aux feux de tes étés,
de la ouate pour tes parpins activés
mes larmes de pluie pour tes pertes de sang mensuel
les donjons de tes yeux ont des ailes.
j aime ne pas te voir,
pour mourir de cette envie,
cette souffrance me tiens compagnie,
etoiles profonde pique niquant en espace de foire
laisse moi peindre ton blé ta farine ton vins pour tes trottoirs
pardonne moi c etait déja moi le balais de tes grottes
les sciecles en arc de jeanne aspire
tu as eu peur quand je suis rescucité
ovni hagard offre moi encore des coniféres
j aime les plantes de ma plante meme en pente
reste encore un peu , meme en pensé
je pense ma chere pensée que je ne devrais plus te penser
je sais je devrais mieux m abreuver du miel de ton visage,
mais lucifer remplis tjrs mon verre
j ais pourtant verser des larmes sur ls pieds du barbu
peux etre a cause d une corde du 17 ieme sciecle
ai je revé ?
etait ce vraix ?
vraiment je ne sais plus ,
mais cette nuit je me trouvais
au dessus de ta rue,
dans un immense ocean de violon
il me faudrais des mots nouveau
pour te compter tout cela
que serais je sans toi?
je serais sans toit,
sans toi.