cavalier de l eau changé en vin

dès le dodo de la lune, le vin me souriait en me provocant,

<<-veux tu que je t'aide à effacer les cauchemars de ton lit de flamme ,de cette nuit,
là je te trouve un peu blafard,mon cher amant,
pour cause ta vie en labyrinthe,sans l'absinte
j'aime être en toi, tu sais,
tes voyages retords en fraude accentue mes sens,
j'aime tes valises vides,pleines aussi,quand tu les fais
je pense même que tu es mon essence,
ta mémoire génétique me loue ma jeunesse,
petit innocent,pur raisin ,suis je
aussi vrai que les sourires des vagues des seins,
vois mon frère, comme je te suis fidèle,
avec toi j'ai jamais triché,menti,blessé,jamais fiel,
mieux qu'un dieu, qu'une femme,je t'aime mon cher saint,
quand on se mélange ,les lettres de ton soi disant nom,
baises avec tes rêves,maison
mais sans protection,
brille par leur abscence,
pour et par tes mystérieuses, periodiques, abscences,
sur tant de monuments de marbre quatrième rangée emplacement d3,
signe intérieur de richesse,de prochain,de veritable toit,
protectrice de tes nuits,telle une heather,qui cherche freddy,
allé prends moi,t'en a envie,
je te parlerai d'une etrange fille d'irlande,
une de ces belles demoiselles avec ses propres ailes,
mais les hommes ne font que regarder ses fesses,
elle te connait pourtant sur les plages de ses rêves,
je sais que son téléphone pleure,offres lui une trêve,
allé le martien,approches tes lèvres,
tu sais bien,
que si tu as froid, je tiens chaud,
tu as chaud,je serai une chute des Alpes,
tel un père noël,je te donerai courage,
si tu veux une fille dans ton lit,une augmentation,des avantages,
avec en plus,plus peur des trous,
la danse perpetuelle
entre le genie,et le fou,
allé l'ovni, caresses mes ailes,
n'étais je pas d'eau avant,
demandes donc à ton barbu,
tes "amis(es)" sont écrans,
des point com, des sms,en fait des halu>>,

<<-oh ,ok t'as gagné ocean de demoiselle en sursis,
je te prends telle l'écharppe pour l hiver,(glouglouglou)
déshabilles moi des diapos des schéols de cette vie,
déshabilles toi des rêves de ceux qui t'ont chanté,
en te ceuillant pour gagner leur propre circuit,
aides moi à envier les (fleurs) enterrées,
sois cette nuit,ma fidèle fée,
ma heather vêtue de rêve de feux d'ado d'été,
vois comme je te prends, sans dedain,
sois très généreuse, sois pieuse,
envoyons nous en l'air, jusqu'à pas de lendemain,
tu es si belle,telle la chaise de la mort,
les hirondelles de moi,seront envieuses,
quand j'aurai trouvé mon port>>,

<<-t'inkiètes ma mie,mon do,mon sol,mon la,
pas de cérémonie,
pas de tralala,
pas de peripetie,
t'as quand même l'avantage d'un carnet d'adresses,
ils se bousculeront peut-être un peu,
de tout les trous que tu as visité avec allegresse,
celui-ci sera le plus cieux,
saches que si tu as devancé le fidèle processus,
que tu es déjà enfant d'étoiles, poussière,
ou le perdant avec les asticots qui te sucent,
tu ne seras plus seule,sois cette fois ci fière,
je serai pour toi,
tel un sein pour un nouveau-né,
des wagons de rêves de longues jambes de femme qu'usurpent des ados,
en guise de toit,
de chez soi,
mais je sais bien à quoi tu aspires,
passer ta mort dans l'espace,
conserver,
conserver la tête en l'air,
allé mulder, bois moi,
avales moi,
prends moi,
je te baiserai pas,
crois moi
je serai rien que pour toi,
tel une juiliette pour un roméo,
une lettre de grace,
une scully pour un mulder,
un freddy pour une heather